Critique : la symphonie des éclairs, l’album de Zaho de Sagazan
Avec son style inimitable et ses paroles puissantes, le premier album de Zaho de Sagazan est sorti le 31 mars dernier. D’abord surpris par l’originalité des sonorités du projet, la deuxième écoute m’a complètement convaincu. C’est pour cette raison que je vous propose de découvrir cette critique de la symphonie des éclairs, l’album de Zaho de Sagazan.
Ne me demandez pas pourquoi c’est de cette manière et sous ce format que j’ai eu envie de faire mon humble critique de l’album la symphonie des éclairs de Zaho de Sagazan (2023). J’ai eu envie, alors je tente c’est tout. C’est bien la première fois que j’écris quelque chose qui se rapproche peut-être d’un poème. Est-ce que le résultat est convainquant ? Est-ce qu’il intéresse ? Je sais pas, mais je suis le premier surpris qu’il corresponde assez bien à mes propres attentes, alors je porte mes c***lles et je publie. Si vous avez la flemme de lire ou si vous ne comprenez pas ce que j’ai écris en dessous, retenez simplement ça : j’ai adoré !
Sa diction qui dénote et me rattache à chaque rebond
S’aimante à ma playlist dans un écho
C’est logique si, pour une chanson qui ressort
le lundi dans une nouvelle liste, Ces
Mots martelés dans sa forge
Raccrochés à son tempo
par la rigueur de son piano
M’ont aspiré dans son addiction.
Au détour d’une story, je retrouve
L’hémistiche mise à mal qui,
tendrement décalée
Voudrait me faire rouler, voguer
et pourquoi pas danser
Sans que personne, jamais, m’ait appris à l’assumer.
Mais sa démarche sincère,
Élégante dans l’intimité
Me ballade très certainement sur
tous ses rythmes brisés.
Un oiseau, libre, au chant mature
qui maîtrise élégamment
La gravité de ma jeunesse.
Composant entre notre chant,
notre pulsion de liberté ;
Et une prose limitée,
Souvent imitée
Se conjuguant avec une violence
À des années lumières de notre intimité.
Elle s’image si bien
Dans le miroir de sa musique
qu’en me mettant à sa place
j’ai discerné mon propre reflet.
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