It Takes Two : Quel Banger !
REMA | Publié le |
Cet article va être dédié à mon jeu vidéo coup de cœur de l’année : It Takes Two. Je vais donc énumérer les points positifs que j’ai trouvés au jeu, tout en spoilant le moins possible. Vous l’aurez compris, il s’agit d’un article subjectif sur mon ressenti du jeu.
C’est quoi It Takes Two ?
Tout d’abord, présentons le jeu. It Takes Two est un jeu de plateforme, d’action et de coopération. On y incarne May ou Cody, les parents de la jeune Rose. Alors que la petite famille vit des moments difficiles, May et Cody se retrouvent changés en 2 poupées. À la manière de Toy Story, on évolue dans la maison familiale à travers la perspective de personnages miniatures. Par exemple, des niveaux nous emmènent à l’intérieur d’un tourne-disque, d’une horloge, ou encore de la salle de jeux de Rose. Au cours du jeu, on suit l’évolution des personnages qui traversent un tas d’épreuves ensemble. En contradiction permanente au début, nos personnages vont réapprendre à s’écouter (surtout dans le dernier chapitre) pour atteindre leur but. Amateur d’happy ending, ce jeu se termine sur un bon tout est bien qui finit bien!
Et pourquoi pas jouer à plusieurs jeux en un ?
La grande spécificité d’It Takes Two, c’est l’excellente pluralité de son gameplay.
Nos 2 protagonistes développent des capacités (gadgets, pouvoirs) différentes en fonction des niveaux. Ces capacités vont toujours par paire et permettent à May et Cody d’être complémentaires. Pour imager, lors d’un niveau Cody possède un lance-résine inflammable et May un sniper à allumettes, je vous laisse maintenant deviner la complémentarité de ces gadgets.
De plus, dans It Takes Two, on évolue aussi dans différents types de jeux. La plus grande partie du jeu se déroule en TPS, mais on retrouve également des moments en 2D plateforme, en RPG etc… C’est un grand plus, car cela élargit le spectre du gameplay, permettant une initiation à différents univers pour les novices et un renouvellement pour les joueurs confirmés. Parce qu’il change constamment, le jeu évite l’écueil de la répétition : chaque nouveau chapitre et univers amènent une nouvelle manière de jouer. Donc si un chapitre vous déplait, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, puisque le prochain sera bien différent !
It Takes Two possède également des mini-jeux ! Une dynamique de gameplay adjacente à l’histoire principale que l’on retrouve à chaque chapitre. Ils permettent une pause bien méritée après avoir défait le boss d’un niveau par exemple. Les mini-jeux sont très variés allant du tir à la corde aux échecs en passant par le rodéo.
Admirez
Si le jeu propose un gameplay varié, il en est de même pour les décors ! Aucun chapitre ne se ressemble pour la simple et bonne raison qu’aucun chapitre ne se passe au même endroit. On découvre la maison via notre taille miniature et il faut prendre garde où on met les pieds (surtout dans le jardin !)
It Takes Two offre également de rares phases purement contemplatives. Le jeu se transforme parfois en promenade où l’on a tout le temps d’apprécier le travail de l’équipe graphique.
Un mode coop VRAIMENT COOP !
Le titre parle pour lui même mais It REALLY Takes Two, pour évoluer dans le jeu. Fini les jeux coop où un personnage peut tout faire tout seul, pas de solo carry dans It Takes Two. Les deux joueurs ont leur importance et leur utilité. Ils sont obligés de coopérer pour passer les différentes épreuves, car l’un ne peut avancer sans l’autre. Et oui, si vous l’aviez déjà oublié, c’est le moment de vous rappeler que les pouvoirs de May et Cody sont toujours complémentaires et nécessaires à l’avancée du jeu, c’est pourquoi on ne peut pas évoluer seul. Cela semble bête, mais en réalité, c’est un élément appréciable du jeu. Pour ceux qui avaient décidé d’avancer dans le jeu en secret sans leur duo, c’est raté !
20h x 2
Comme beaucoup de jeux de plateforme, la durabilité d’It Takes Two se place aux alentours des 20h pour ce qui est de l’histoire principale. Cette durabilité augmente si on décide de jouer à tous les mini-jeux en parcourant les niveaux. Mais ce n’est pas tout : il y a également une possibilité de recommencer le jeu avec un autre personnage. Et oui, si on a terminé le jeu avec Cody, on peut décider de se faire un deuxième round avec May. De ce fait, le jeu possède un potentiel durabilité sympathique.
EASY PEASY
Malgré un gameplay, des gadgets et des mécaniques qui changent à chaque chapitre, le jeu est accessible. Le skill demandé n’est pas élevé ainsi des novices pourront s’amuser autant que des joueurs expérimentés. Par exemple, lors des phases durant lesquelles il faut viser le meilleur ami des joueurs Call Of Duty console est là : l’aide à la visée. Il y a également une possibilité de Speed Run (phrase réservez aux maxi try hardeurs, on vous voit.)
Mon avis
Je vais maintenant parler un peu plus personnellement. Barrière anti-menfou + palu activée.
Ce jeu s’avère être ma révélation de l’année, tant j’en ai pris plein la tête. Bon, j’en fais des caisses, mais j’ai vraiment apprécié le jeu. Je l’ai trouvé différent des autres jeux de plateforme coop que j’ai eu l’occasion de faire comme Unravel 2 par exemple. La mécanique des gadgets et du gameplay exclusif à chaque niveau est un réel plus.
La personne avec qui j’ai fait It Takes Two était novice des jeux de plateforme en TPS et peu expérimentée à la manette. De mon côté, j’étais plus à l’aise avec l’un comme avec l’autre. Et bien cela ne crée aucun souci, le jeu est tellement accessible que la différence de niveau se ressent très peu. Preuve en est : je me suis fait distancer plus d’une fois et ne parlons pas des mini-jeux… On a pu tous les deux découvrir l’univers fantastique de It Takes Two au même rythme. Si vous cherchez un jeu en coop sans prise de tête, foncez.
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